par tapa pacifique » 02 nov. 2009, 04:46
Je ne possède pas votre connaissance de terrain et dois avouer ne jamais m’être rendu sur les territoires que vous citez. Avec 15 ou 20 ans de moins, je ne dis pas….mais maintenant je ne m’en sens plus trop la force, ni le courage, car il en faut beaucoup pour entreprendre ce genre de périples.
Les livres sont mes succédanés d’adrénaline et m’aident à connaître ce que mes yeux ne verront probablement pas, sans toutefois risquer une mauvaise chute ou une amibe virulente. Je vous tire mon chapeau et vous dois le respect pour vos actes, ainsi qu’à votre épouse qui n’hésite pas, elle-même, à vous accompagner.
Vous parliez livres d’antan ! connaissez-vous « Les Papous coupeurs de têtes – 167 jours dans la préhistoire » par Tony Saulnier – Editions Pont-Royal – Italie – 1960. Avec les ouvrages de Jules Verne et de la famille Mahuzier, il berça mon imagination d’enfant et fit certainement en sorte de mon intérêt pour cette partie du monde. Le reportage se passe en Irian-Jaya, essayez de le lire ; je suis sûr qu’il vous passionnera, et vous pourrez y retrouver un grand nombre des vérités que vous connaissez sur les crânes Asmat, plus quelques autres toutes particulières quant aux rites de chasse et de conservation des trophées humains.
Un autre aussi, plus récent : « Art of Northwest New Guinea » - Suzan Greub – Editions Rizzoli – New-York – 1992. Une mine de connaissances. A ne pas manquer.
J’avais noté l’orifice rond au dessus du sourcil, mais je lui avais plus donné comme cause possible, un impact de balle ronde. Le diamètre, pris au pied à coulisse, pourrait donner le calibre et ainsi permettre de l’aboucher avec une arme précise. Ce serait une possibilité de recherche en vue d’une datation éventuelle. Bien sûr, ce n’est qu’une supposition ou une intuition, non une affirmation.
Bien amicalement.
Alain
Je ne possède pas votre connaissance de terrain et dois avouer ne jamais m’être rendu sur les territoires que vous citez. Avec 15 ou 20 ans de moins, je ne dis pas….mais maintenant je ne m’en sens plus trop la force, ni le courage, car il en faut beaucoup pour entreprendre ce genre de périples.
Les livres sont mes succédanés d’adrénaline et m’aident à connaître ce que mes yeux ne verront probablement pas, sans toutefois risquer une mauvaise chute ou une amibe virulente. Je vous tire mon chapeau et vous dois le respect pour vos actes, ainsi qu’à votre épouse qui n’hésite pas, elle-même, à vous accompagner.
Vous parliez livres d’antan ! connaissez-vous « Les Papous coupeurs de têtes – 167 jours dans la préhistoire » par Tony Saulnier – Editions Pont-Royal – Italie – 1960. Avec les ouvrages de Jules Verne et de la famille Mahuzier, il berça mon imagination d’enfant et fit certainement en sorte de mon intérêt pour cette partie du monde. Le reportage se passe en Irian-Jaya, essayez de le lire ; je suis sûr qu’il vous passionnera, et vous pourrez y retrouver un grand nombre des vérités que vous connaissez sur les crânes Asmat, plus quelques autres toutes particulières quant aux rites de chasse et de conservation des trophées humains.
Un autre aussi, plus récent : « Art of Northwest New Guinea » - Suzan Greub – Editions Rizzoli – New-York – 1992. Une mine de connaissances. A ne pas manquer.
J’avais noté l’orifice rond au dessus du sourcil, mais je lui avais plus donné comme cause possible, un impact de balle ronde. Le diamètre, pris au pied à coulisse, pourrait donner le calibre et ainsi permettre de l’aboucher avec une arme précise. Ce serait une possibilité de recherche en vue d’une datation éventuelle. Bien sûr, ce n’est qu’une supposition ou une intuition, non une affirmation.
Bien amicalement.
Alain