par Bertrand » 27 juil. 2012, 13:31
Les premiers temps de sa détention, le Petit Marcel a cru que les forgerons étaient tous des proxénètes
On se souvient que l’ « apprenti-calé » n’était pas un foudre de guerre à ses débuts. Il avait lu dans une mauvaise revue à Tombouctou cette phrase culte : « on ne peut pas en même temps tapiner dans les escaliers de Bandiagara et dans le bois de Boulogne, entre 2 chinoises de Wenzhou et 3 Roumaines de Botoşani »
Dans son esprit confus, il a sans doute cru que les expressions « le feu au cul » - les « gorges profondes » - les « falaises à Pic » – les « Gougounettes » étaient un langage codé particulier aux forgerons et à leurs potières délurées ……..
Le petit Marcel n’avait pas encore, à cette époque là, vécu sa période Ansar Hedine dans la périphérie de Tombouctou, et avait la fâcheuse tendance de diviser le monde en deux catégories : les « Cons » et les « Bêchant », c.à.d. les « …… (Intraduisible – sorry !) » et les « ploucs ».
Quand il a commencé à apprendre à litre et à écrire à Tombouctou, il écrivait d’ailleurs « Forge & Ron », persuadé qu’il s’agissait d’une famille canadienne établie là au début du XIII ème siècle …………. Vous vous imaginez dans quel état était ce pauvre garçon !!!
Après sa libération des mains de Boko Haram, le petit Marcel avait eu cette phrase restée célèbre :
″Vive les Falaises Libres″
Vous imaginez la gueule de toutes les potières en entendant ces mots prononcés par le gamin qu’elles avaient aimé et torturé quelques années auparavant.
Une potière … çà fait quoi dans la journée ? Çà triture … çà tripote …avec de la glaise humide à souhait ! … et pendant que le mari forgeron s’isole dans une grotte de la falaise pour sculpter une louloutte …. La potière ne pense qu’à une chose : arrêter son régime Atkins pour mieux pouvoir s’occuper du petit Marcel, le bichonner, le coucouner, le dorlotter ………… c’est pendant cette période que le petit Marcel s’est habituée à ronfler tranquillement, le nez bien calé entre deux roplosplos de potière …..
D’ailleurs, au bout de trois mois de ce régime, les Dogons avaient déménagé sa tente dans les falaises, accrochée à un piton branlant ……..là au moins, il pouvait ronfler à souhait sans emmerder tout le village, les seules qu’il pouvaient déranger étant les loulouttes abandonnées là dans leurs grottes accompagnées de quelques Tellem asmathiques
Mais au bout d’un certain temps, l’une des chefs –loulouttes est allée déposer une plainte chez Barbier-Mueller en exigeant qu’on fasse muter le petit Marcel sur les bords du Fleuve.
C’est bien ce qui s’est passé ! mais le petit Marcel a réussi à échapper à Oscar et s’est réfugié dans une falaise isolée, à l’abri des regards indiscrets des forgerons et autres potières …
On dit qu’il a réussi à se nourrir d’oignons et de vieux croûtons pendant 2 ans (personne ne sait si le petit Marcel savait faire la différence entre le pain dur et les durs d’oreilles !!!!) ………. Ce qui explique en partie sa calvitie précoce ……….. (la coccinelle prétend que c’est elle qui s’est escrimée à épiler le petit Marcel poil par poil, en équilibre précaire sur un petit piton plantée par elle juste au dessus de la tente à Marçouille ……… mais plus personne ne fait confiance à la coccinelle)
Ce qui est sûr en tout cas, c’est que quand le petit Marcel a passé les vacances de Pâques en pays Lobi – histoire de changer un peu d’air (aux oignons) et surtout échapper aux potières, il a réussi à se refaire une santé. Bien sûr, il n’avait plus de dents depuis longtemps …. Mais qui se soucie encore aujourd’hui d’avoir des dents en plein délire Dogon !!!!!!!!
Bertrand
Les premiers temps de sa détention, le Petit Marcel a cru que les forgerons étaient tous des proxénètes
On se souvient que l’ « apprenti-calé » n’était pas un foudre de guerre à ses débuts. Il avait lu dans une mauvaise revue à Tombouctou cette phrase culte : « on ne peut pas en même temps tapiner dans les escaliers de Bandiagara et dans le bois de Boulogne, entre 2 chinoises de Wenzhou et 3 Roumaines de Botoşani »
Dans son esprit confus, il a sans doute cru que les expressions « le feu au cul » - les « gorges profondes » - les « falaises à Pic » – les « Gougounettes » étaient un langage codé particulier aux forgerons et à leurs potières délurées ……..
Le petit Marcel n’avait pas encore, à cette époque là, vécu sa période Ansar Hedine dans la périphérie de Tombouctou, et avait la fâcheuse tendance de diviser le monde en deux catégories : les « Cons » et les « Bêchant », c.à.d. les « …… (Intraduisible – sorry !) » et les « ploucs ».
Quand il a commencé à apprendre à litre et à écrire à Tombouctou, il écrivait d’ailleurs « Forge & Ron », persuadé qu’il s’agissait d’une famille canadienne établie là au début du XIII ème siècle …………. Vous vous imaginez dans quel état était ce pauvre garçon !!!
Après sa libération des mains de Boko Haram, le petit Marcel avait eu cette phrase restée célèbre :
″Vive les Falaises Libres″
Vous imaginez la gueule de toutes les potières en entendant ces mots prononcés par le gamin qu’elles avaient aimé et torturé quelques années auparavant.
Une potière … çà fait quoi dans la journée ? Çà triture … çà tripote …avec de la glaise humide à souhait ! … et pendant que le mari forgeron s’isole dans une grotte de la falaise pour sculpter une louloutte …. La potière ne pense qu’à une chose : arrêter son régime Atkins pour mieux pouvoir s’occuper du petit Marcel, le bichonner, le coucouner, le dorlotter ………… c’est pendant cette période que le petit Marcel s’est habituée à ronfler tranquillement, le nez bien calé entre deux roplosplos de potière …..
D’ailleurs, au bout de trois mois de ce régime, les Dogons avaient déménagé sa tente dans les falaises, accrochée à un piton branlant ……..là au moins, il pouvait ronfler à souhait sans emmerder tout le village, les seules qu’il pouvaient déranger étant les loulouttes abandonnées là dans leurs grottes accompagnées de quelques Tellem asmathiques
Mais au bout d’un certain temps, l’une des chefs –loulouttes est allée déposer une plainte chez Barbier-Mueller en exigeant qu’on fasse muter le petit Marcel sur les bords du Fleuve.
C’est bien ce qui s’est passé ! mais le petit Marcel a réussi à échapper à Oscar et s’est réfugié dans une falaise isolée, à l’abri des regards indiscrets des forgerons et autres potières …
On dit qu’il a réussi à se nourrir d’oignons et de vieux croûtons pendant 2 ans (personne ne sait si le petit Marcel savait faire la différence entre le pain dur et les durs d’oreilles !!!!) ………. Ce qui explique en partie sa calvitie précoce ……….. (la coccinelle prétend que c’est elle qui s’est escrimée à épiler le petit Marcel poil par poil, en équilibre précaire sur un petit piton plantée par elle juste au dessus de la tente à Marçouille ……… mais plus personne ne fait confiance à la coccinelle)
Ce qui est sûr en tout cas, c’est que quand le petit Marcel a passé les vacances de Pâques en pays Lobi – histoire de changer un peu d’air (aux oignons) et surtout échapper aux potières, il a réussi à se refaire une santé. Bien sûr, il n’avait plus de dents depuis longtemps …. Mais qui se soucie encore aujourd’hui d’avoir des dents en plein délire Dogon !!!!!!!!
Bertrand