par sacré ibis » 17 nov. 2019, 20:54
Bonjour,
C’est vrai que les patines, le vieillissement plus ou moins authentique, c’est difficile… Du coup, il faut multiplier les approches pour faire parler l'ojet. Je reste sur mon idée que la boîte n’est pas ancienne.
- Pas de fissures, pas d’à-coups ou de marques d’usage. Les arêtes et angles sont trop nets. Or, ces objets étaient manipulés quotidiennement et conservés dans des conditions climatiques sévères, sécheresse, humidité, chaleur.
- Endroits de préhension. Le singa sur le couvercle devrait montrer des traces d’usage, d’usure vu que, chaque fois qu’on ouvre le couvercle, on l’attrape par la tête, le pauvre ! :-)
- Les figures sculptées elles-mêmes. Leurs traits sont beaucoup moins fins que dans les sculptures traditionnelles anciennes.
Il est assez rare qu’un bouquin s’intéresse explicitement à la production des objets « souvenirs » destinés au commerce. Je joins 2 planches de l’ouvrage cité montrant deux séries d’objets, tous fabriqués comme « souvenirs », selon les termes de l'auteur. L’une rassemble des pièces « fabriquées à la hâte » (datées de 1965 à 1989). L’autre, « caractérisée par l’utilisation de meilleurs matériaux, de meilleures techniques de sculpture et de polissage et l’utilisation de formes traditionnelles » (datés 1989)
On peut les distinguer sans difficulté. Exercice à la portée de tous !
- Fichiers joints
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Bonjour,
C’est vrai que les patines, le vieillissement plus ou moins authentique, c’est difficile… Du coup, il faut multiplier les approches pour faire parler l'ojet. Je reste sur mon idée que la boîte n’est pas ancienne.
- Pas de fissures, pas d’à-coups ou de marques d’usage. Les arêtes et angles sont trop nets. Or, ces objets étaient manipulés quotidiennement et conservés dans des conditions climatiques sévères, sécheresse, humidité, chaleur.
- Endroits de préhension. Le singa sur le couvercle devrait montrer des traces d’usage, d’usure vu que, chaque fois qu’on ouvre le couvercle, on l’attrape par la tête, le pauvre ! :-)
- Les figures sculptées elles-mêmes. Leurs traits sont beaucoup moins fins que dans les sculptures traditionnelles anciennes.
Il est assez rare qu’un bouquin s’intéresse explicitement à la production des objets « souvenirs » destinés au commerce. Je joins 2 planches de l’ouvrage cité montrant deux séries d’objets, tous fabriqués comme « souvenirs », selon les termes de l'auteur. L’une rassemble des pièces « fabriquées à la hâte » (datées de 1965 à 1989). L’autre, « caractérisée par l’utilisation de meilleurs matériaux, de meilleures techniques de sculpture et de polissage et l’utilisation de formes traditionnelles » (datés 1989)
On peut les distinguer sans difficulté. Exercice à la portée de tous ! :have_a_nice_day