par sacré ibis » 17 avr. 2019, 12:21
Bonjour Radloann,
Hirz, on ne peut pas se tromper.
Il existe des hirz, beaucoup plus rares, avec inscriptions en hébreu. Se rappeler que les artisans bijoutiers, au moins au Maghreb, étaient souvent des Juifs et fournissaient entre autres les Berbères. Les Bédouins de la péninsule arabique n’en sont pas éloignés et la présence des Juifs dans cette région est millénaire. (cf la reine de Saba, citée dans la Bible comme dans le Coran.)
D’autre part, le port du hirz est depuis des siècles l’objet d’une controverse interne chez les musulmans. Les Wahabites estiment que le port de la parole d’Allah sur le corps fait de l’homme une sorte de partenaire d’Allah, ce qui porterait atteinte à sa divinité et à la parole sacrée.
Les « tchérots » touaregs, pendentifs contenants des paroles du Coran ou bien une formule apotropaïque, sont soudés et on ne peut pas les ouvrir. Voir s’il en est de même pour certains hirz (?). J'en ai vu un, un jour, ouvrable.
Il comportait une inscription en hébreu.
Bonjour Radloann,
Hirz, on ne peut pas se tromper.
Il existe des hirz, beaucoup plus rares, avec inscriptions en hébreu. Se rappeler que les artisans bijoutiers, au moins au Maghreb, étaient souvent des Juifs et fournissaient entre autres les Berbères. Les Bédouins de la péninsule arabique n’en sont pas éloignés et la présence des Juifs dans cette région est millénaire. (cf la reine de Saba, citée dans la Bible comme dans le Coran.)
D’autre part, le port du hirz est depuis des siècles l’objet d’une controverse interne chez les musulmans. Les Wahabites estiment que le port de la parole d’Allah sur le corps fait de l’homme une sorte de partenaire d’Allah, ce qui porterait atteinte à sa divinité et à la parole sacrée.
Les « tchérots » touaregs, pendentifs contenants des paroles du Coran ou bien une formule apotropaïque, sont soudés et on ne peut pas les ouvrir. Voir s’il en est de même pour certains hirz (?). J'en ai vu un, un jour, ouvrable. ;^^ Il comportait une inscription en hébreu.