par SLATEC » 19 avr. 2019, 22:27
A l'origine on parle de couteaux d'exécution:
Jadis, ils étaient employés pour asséner des coups violents (décapitations, combats...); plus tard, ils sont devenus des insignes de prestiges et des objets pour la danse.
Lorsque la Belgique a interdit les décapitations rituelles et les guerres intertribales, ces couteaux ont servi pour la parade et également comme monnaie, notamment pour le payement d'une dot.
Dans les année 1930 celle-ci pouvaient s'élever à vingt couteaux.
Au 19éme et début 20éme, ces armes étaient exclusivement employées par les hommes, après l'usage ayant évolué, elles sont également passées dans les mains des femmes, surtout pour les danses.
Pour ces couteaux ont parle de Ngulu simple (une seule courbe) et double Ngulu (double courbe).
Celui-ci est entièrement en cuivre, dont c'est une arme hiérarchique pour un chef ou notable.(pas du tout pour les combats.
Voir photo du' un Ngulu simple.
A l'origine on parle de couteaux d'exécution:
Jadis, ils étaient employés pour asséner des coups violents (décapitations, combats...); plus tard, ils sont devenus des insignes de prestiges et des objets pour la danse.
Lorsque la Belgique a interdit les décapitations rituelles et les guerres intertribales, ces couteaux ont servi pour la parade et également comme monnaie, notamment pour le payement d'une dot.
Dans les année 1930 celle-ci pouvaient s'élever à vingt couteaux.
Au 19éme et début 20éme, ces armes étaient exclusivement employées par les hommes, après l'usage ayant évolué, elles sont également passées dans les mains des femmes, surtout pour les danses.
Pour ces couteaux ont parle de Ngulu simple (une seule courbe) et double Ngulu (double courbe).
Celui-ci est entièrement en cuivre, dont c'est une arme hiérarchique pour un chef ou notable.(pas du tout pour les combats.
Voir photo du' un Ngulu simple.