par sacré ibis » 07 sept. 2023, 14:25
Petit ajout qui est un avis personnel et résume des règles générales.
Si ces objets n'entrent pas dans les listes ICOM ou UNESCO liées au trafic et au pillage d’antiquités, ainsi que dans la liste de la Convention de Washington dite « CITES » pour les espèces protégées de la faune et de la flore, alors je crois que votre acquisition est tout à fait normale et licite.
De plus, si les objets ont été acquis par les anciens propriétaires avant les réglementations (il faut pouvoir le prouver), alors ils ne sont pas soumis à la loi car, selon un principe de droit, les lois ne sont pas rétroactives. C'est pour cela que, par exemple, les maisons d'enchères sont obligées de déterminer l'origine d'un objet en ivoire (au-delà d'un certain poids) ou d'être en mesure de démontrer qu'une antiquité listée dans les conventions internationales n'est pas le produit d'un trafic ou d'un pillage.
Petit ajout qui est un avis personnel et résume des règles générales.
Si ces objets n'entrent pas dans les listes ICOM ou UNESCO liées au trafic et au pillage d’antiquités, ainsi que dans la liste de la Convention de Washington dite « CITES » pour les espèces protégées de la faune et de la flore, alors je crois que votre acquisition est tout à fait normale et licite.
De plus, si les objets ont été acquis par les anciens propriétaires avant les réglementations (il faut pouvoir le prouver), alors ils ne sont pas soumis à la loi car, selon un principe de droit, les lois ne sont pas rétroactives. C'est pour cela que, par exemple, les maisons d'enchères sont obligées de déterminer l'origine d'un objet en ivoire (au-delà d'un certain poids) ou d'être en mesure de démontrer qu'une antiquité listée dans les conventions internationales n'est pas le produit d'un trafic ou d'un pillage.