par Kalimantan » 18 oct. 2013, 16:55
@ Croma
J'ai lu cet article. En général, les prélèvements sont photographiés et les clichés joints au certificat. Ceci afin de parer aux limites de la méthode, prélèvement au cœur ou sur un bord…et lequel?
Concernant la différence d'âge entre le cœur de l'arbre et une partie de son tronc plus excentré, la différence est toujours favorable au C14, elle ne peut être défavorable en ce sens ou cela ajoute de l'âge, et que cette différence est inclue dans la fourchette fournie par le laboratoire.
Sur l'objet dont il est question, le livre parle de trois C14, effectués en trois endroits différents, dont un à partir d'un prélèvement à la surface, par trois laboratoires différents. Les résultats sont convergents.
Pas d'interprétations possibles, le bois est ancien.
La dendrochronologie ne se contente pas de dater le bois, d'autant que les bois tropicaux n'ont pas de cernes annuelles de part le climat quasi identique toute l'année, elle étudie beaucoup d'autres choses. Je parle de Bornéo, je précise, avant de me prendre une volée de bois vert. :-))
Ne me poser pas la question pour les arbres de l'Ouganda, je n'en sais rien.
@ Ericdumans. Bien sûr, il y a des datations C14 qui posent problème. Mais ce n'est pas systématique. Cette méthode de datation est maintenant reconnu, en particulier lorsqu'elle est réalisée par des laboratoires compétents.
Dans certains cas, assez rare en ce qui concerne les objets d'Art Tribal, il y a des problèmes. Je connais un collectionneur qui a un objet de grotte de Bornéo et dont les deux C14, par deux laboratoires différents, avec des prélèvements à des endroits distincts, donnent 4500 ans.
Tout les marchands disent dit que c'est impossible. Et pourtant, rien pour l'instant ne peut démontrer le contraire! Si vous avez un avis sur le type de pollution possible, il est preneur!
@ Mami Wata. Je voyage depuis plus de 20 ans en Asie du SE, et me suis spécialisé, par goût, à la forêt primaire et ses populations. J'ai réalisé de nombreux reportages en Papouasie, à Bornéo, etc… J'ai rencontré les objets très vite, sans même le vouloir. Ensuite, viennent les livres, la documentation, l'intérêt, etc..et plus de 10 ans de vie insitu.
En général, restons dans le raisonnable, puisque certains ici sont scientifiques, et que c'est la façon la plus rationnelle de débattre de ce grand objet en question.
Salutations à tous
@ Croma
J'ai lu cet article. En général, les prélèvements sont photographiés et les clichés joints au certificat. Ceci afin de parer aux limites de la méthode, prélèvement au cœur ou sur un bord…et lequel?
Concernant la différence d'âge entre le cœur de l'arbre et une partie de son tronc plus excentré, la différence est toujours favorable au C14, elle ne peut être défavorable en ce sens ou cela ajoute de l'âge, et que cette différence est inclue dans la fourchette fournie par le laboratoire.
Sur l'objet dont il est question, le livre parle de trois C14, effectués en trois endroits différents, dont un à partir d'un prélèvement à la surface, par trois laboratoires différents. Les résultats sont convergents.
Pas d'interprétations possibles, le bois est ancien.
La dendrochronologie ne se contente pas de dater le bois, d'autant que les bois tropicaux n'ont pas de cernes annuelles de part le climat quasi identique toute l'année, elle étudie beaucoup d'autres choses. Je parle de Bornéo, je précise, avant de me prendre une volée de bois vert. :-))
Ne me poser pas la question pour les arbres de l'Ouganda, je n'en sais rien.
@ Ericdumans. Bien sûr, il y a des datations C14 qui posent problème. Mais ce n'est pas systématique. Cette méthode de datation est maintenant reconnu, en particulier lorsqu'elle est réalisée par des laboratoires compétents.
Dans certains cas, assez rare en ce qui concerne les objets d'Art Tribal, il y a des problèmes. Je connais un collectionneur qui a un objet de grotte de Bornéo et dont les deux C14, par deux laboratoires différents, avec des prélèvements à des endroits distincts, donnent 4500 ans.
Tout les marchands disent dit que c'est impossible. Et pourtant, rien pour l'instant ne peut démontrer le contraire! Si vous avez un avis sur le type de pollution possible, il est preneur!
@ Mami Wata. Je voyage depuis plus de 20 ans en Asie du SE, et me suis spécialisé, par goût, à la forêt primaire et ses populations. J'ai réalisé de nombreux reportages en Papouasie, à Bornéo, etc… J'ai rencontré les objets très vite, sans même le vouloir. Ensuite, viennent les livres, la documentation, l'intérêt, etc..et plus de 10 ans de vie insitu.
En général, restons dans le raisonnable, puisque certains ici sont scientifiques, et que c'est la façon la plus rationnelle de débattre de ce grand objet en question.
Salutations à tous