par veronique » 25 juil. 2018, 13:34
Difficile de déterminer si ce tambour est ''sincère'' ou pas.. Il faudrait examiner le dessous des pattes, les parties angulaires qui sont
supposées être un peu encrassées,... En théorie, cou et queue devraient être plus patinées que le corps, en raison des manipulations
pour son transport.
En tout cas, j'ai trouvé des infos sur les tambours à fente - et à propos des tambours lobala voici ce qui est exposé :
''Les tambours à fente que l’on appelle zoomorphes impressionnent surtout par leur forme : on en trouve de grandes et de petites
dimensions. Comme leur nom le laisse supposer, ces tambours sont réalisés à partir d’un très gros bloc de bois taillé en forme d’animal
stylisé (buffle, antilope). Ils se distinguent principalement par le corps volumineux qui fait office de caisse de résonance et à l’extrémité
duquel on sculpte le cou et la tête (d’un côté) et la queue (de l’autre côté) La tête et la queue ne sont pas toujours clairement identifiables :
sur certains modèles, l’artisan se contente de sculpter de chaque côté une forme identique. Pour rendre l’aspect encore plus impressionnant,
le “corps” est en outre posé sur quatre pattes..."
http://music.africamuseum.be/instruments/french/congo%20drc/bakpekpe.html
Difficile de déterminer si ce tambour est ''sincère'' ou pas.. Il faudrait examiner le dessous des pattes, les parties angulaires qui sont
supposées être un peu encrassées,... En théorie, cou et queue devraient être plus patinées que le corps, en raison des manipulations
pour son transport.
En tout cas, j'ai trouvé des infos sur les tambours à fente - et à propos des tambours lobala voici ce qui est exposé :
''Les tambours à fente que l’on appelle zoomorphes impressionnent surtout par leur forme : on en trouve de grandes et de petites
dimensions. Comme leur nom le laisse supposer, ces tambours sont réalisés à partir d’un très gros bloc de bois taillé en forme d’animal
stylisé (buffle, antilope). Ils se distinguent principalement par le corps volumineux qui fait office de caisse de résonance et à l’extrémité
duquel on sculpte le cou et la tête (d’un côté) et la queue (de l’autre côté) La tête et la queue ne sont pas toujours clairement identifiables :
sur certains modèles, l’artisan se contente de sculpter de chaque côté une forme identique. Pour rendre l’aspect encore plus impressionnant,
le “corps” est en outre posé sur quatre pattes..."
http://music.africamuseum.be/instruments/french/congo%20drc/bakpekpe.html