gbekre
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Re : gbekre
@ tamba
Il n existe aucun diplôme d expert ou d autorité à même de valider des Coa
Un certificat n à donc qu une valeur très relative et c surtout le nom de son signataire qui en fait la valeur.
Par contre les CP ont un tout autre engagement. Leur expertise pouvant être attaquée pendant 10 ans
De fait vous noterez que leurs descriptions sont presque toujours très vagues . Moins ils en disent, moins il ont de chance d être poursuivis.
Posté de mon mobile, soyez indulgent(e)s avec les coquilles !
Il n existe aucun diplôme d expert ou d autorité à même de valider des Coa
Un certificat n à donc qu une valeur très relative et c surtout le nom de son signataire qui en fait la valeur.
Par contre les CP ont un tout autre engagement. Leur expertise pouvant être attaquée pendant 10 ans
De fait vous noterez que leurs descriptions sont presque toujours très vagues . Moins ils en disent, moins il ont de chance d être poursuivis.
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Re : gbekre
SUPER le GASTON ............... Sophie !
L'essentiel est que tu puisses garder ton singe
J'espere que tu auras l'occasion de me le montrer un jour ............ moi je le trouve tres bien et j'aimerais bien le rencontrer pour lui dire tout le bien que je pense de lui
Sais pas pourquoi ! mais je me mefie toujours des querelles d'experts et de de leurs delires
Bertrand
L'essentiel est que tu puisses garder ton singe
J'espere que tu auras l'occasion de me le montrer un jour ............ moi je le trouve tres bien et j'aimerais bien le rencontrer pour lui dire tout le bien que je pense de lui
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Re : gbekre
"Fausses statuettes africaines et vrais faussaires arrêtés à Paris
Masque Fang du Gabon (authentique) utilisé pour la cérémonie du ngil.
Marie-Lan Nguyen / Wikimedia public domain
Par Claire Arsenault
La Mecque du marché français de l’art premier africain en frémit encore. A Paris, ce sont 22 personnes qui ont été interpellées en début de semaine lors d’une opération qui a mobilisé 50 policiers. Les personnes arrêtées écoulaient dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés des statuettes et masques africains vieillis artificiellement à coup d’urine et de noix de cajou…
Le trafic était bien connu des amateurs d’art africain qui aiment se régaler les yeux du côté du sixième arrondissement de Paris. Rien de bien méchant en apparence : un grand jeune homme noir vous aborde en vous demandant si vous aimez l’art africain. La plupart du temps, il vous propose quelques babioles tirées d’un sac en plastique qui n’ont d’art africain que le nom.
Urine et brou de noix
Mais cette fois, l’affaire est d’une autre envergure. Le coup de filet opéré lundi à la mi-journée par cinquante policiers a abouti à vingt-deux interpellations. Quatre personnes étaient toujours en garde à vue, ce jeudi 13 juin. Les policiers ont mis à jour un réseau de rabatteurs qui écoulaient des objets d’art africains « anciens » fabriqués à la petite semaine en plein Paris.
Pour leur donner une patine « authentique », les faussaires enfouissaient les objets dans la terre puis urinaient dessus, l’acidité faisant alors merveille pour vieillir les pièces en bois. Le brou de noix de cajou, vieux truc de brocanteur, fonctionne aussi très bien pour ajouter quelques décennies à une statuette tout juste sortie d’atelier.
Ce sont ainsi quelque 500 objets qui ont été saisis, révèle le quotidien Le Parisien. Un galeriste réputé serait suspecté d’être impliqué dans le trafic qui permettait d’écouler notamment des faux masques Fang du Gabon et des statuettes Punu tout aussi trafiquées. Tout cela se limiterait à un petit commerce pas bien catholique, si ce n’était les sommes en jeu : selon les enquêteurs les faux se négociaient autour de 100 000 euros ! On murmure dans le quartier très sélect de Saint-Germain-des-Prés, que des amateurs fortunés se sont fait arnaquer, qui de 100 000, qui de 400 000 euros.
Des sommes qui laissent sans voix Bernard Dulon, expert en art premier africain et galeriste à Saint-Germain-des-Prés. « Ce qui me dérange dans cette affaire, explique-t-il, c’est le fond de racisme qu’elle révèle. Ce sont des Africains qui vendent ces objets dans la rue et ce sont des Blancs qui achètent, persuadés que le vendeur africain n’y connaît rien et qu’eux vont faire une bonne affaire. »
Acheter un Picasso à un Espagnol en sortant du musée
« Pour résumer, ils prennent les Africains pour des cons et les galeristes spécialisés du quartier pour des escrocs. Est-ce qu’ils achèteraient un Picasso à un Espagnol en sortant de Beaubourg ? », s’interroge le spécialiste. « Et au final, conclut Bernard Dulon je n’ai pas envie de les plaindre plus que ça s’ils se font rouler, même s’il faut bien reconnaître que la fabrique de faux peut nous porter tort. »
Pour ce galeriste, ces faux se repèrent au premier coup d’œil. Les copies sont « à mourir de rire», dit-il, « elles sont mal faites pour la bonne raison qu’elles sont fabriquées d’après photo et que le faussaire fait comme il peut pour rendre les trois dimensions de l’œuvre originale. De ma vie, je n’ai jamais vu en art africain ce que les spécialistes appellent un "faux diabolique", c’est-à-dire une copie quasi-indétectable ».
« Et puis, quand même, ces riches amateurs qui au passage n’ont pas l’œil bien éduqué, s’ils pensent qu’ils peuvent acheter dans un coffre de voiture, à la sauvette, une pièce qui vaut 1 million d’euros bradée à 100 000, franchement ça pose question », juge Bernard Dulon. Mais l’âme humaine est ainsi faite qu’entre escroc et escroqué, il existe souvent une connivence, l’un pensant toujours être plus malin que l’autre.
Les ventes publiques d’art premier africain ne sont pas très fréquentes et elles sont de plus en plus suivies par des inconditionnels. Le continent africain est ainsi reconnu depuis quelques décennies comme un producteur d’art de première importance. Avec, comme conséquence logique, une envolée des prix et son corollaire, la multiplication des copies. Le réseau qui vient d’être démantelé à Paris après six mois d’enquête et de filatures apparaît comme étant le plus important jamais découvert à ce jour en France. "
Bertrand
Masque Fang du Gabon (authentique) utilisé pour la cérémonie du ngil.
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La Mecque du marché français de l’art premier africain en frémit encore. A Paris, ce sont 22 personnes qui ont été interpellées en début de semaine lors d’une opération qui a mobilisé 50 policiers. Les personnes arrêtées écoulaient dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés des statuettes et masques africains vieillis artificiellement à coup d’urine et de noix de cajou…
Le trafic était bien connu des amateurs d’art africain qui aiment se régaler les yeux du côté du sixième arrondissement de Paris. Rien de bien méchant en apparence : un grand jeune homme noir vous aborde en vous demandant si vous aimez l’art africain. La plupart du temps, il vous propose quelques babioles tirées d’un sac en plastique qui n’ont d’art africain que le nom.
Urine et brou de noix
Mais cette fois, l’affaire est d’une autre envergure. Le coup de filet opéré lundi à la mi-journée par cinquante policiers a abouti à vingt-deux interpellations. Quatre personnes étaient toujours en garde à vue, ce jeudi 13 juin. Les policiers ont mis à jour un réseau de rabatteurs qui écoulaient des objets d’art africains « anciens » fabriqués à la petite semaine en plein Paris.
Pour leur donner une patine « authentique », les faussaires enfouissaient les objets dans la terre puis urinaient dessus, l’acidité faisant alors merveille pour vieillir les pièces en bois. Le brou de noix de cajou, vieux truc de brocanteur, fonctionne aussi très bien pour ajouter quelques décennies à une statuette tout juste sortie d’atelier.
Ce sont ainsi quelque 500 objets qui ont été saisis, révèle le quotidien Le Parisien. Un galeriste réputé serait suspecté d’être impliqué dans le trafic qui permettait d’écouler notamment des faux masques Fang du Gabon et des statuettes Punu tout aussi trafiquées. Tout cela se limiterait à un petit commerce pas bien catholique, si ce n’était les sommes en jeu : selon les enquêteurs les faux se négociaient autour de 100 000 euros ! On murmure dans le quartier très sélect de Saint-Germain-des-Prés, que des amateurs fortunés se sont fait arnaquer, qui de 100 000, qui de 400 000 euros.
Des sommes qui laissent sans voix Bernard Dulon, expert en art premier africain et galeriste à Saint-Germain-des-Prés. « Ce qui me dérange dans cette affaire, explique-t-il, c’est le fond de racisme qu’elle révèle. Ce sont des Africains qui vendent ces objets dans la rue et ce sont des Blancs qui achètent, persuadés que le vendeur africain n’y connaît rien et qu’eux vont faire une bonne affaire. »
Acheter un Picasso à un Espagnol en sortant du musée
« Pour résumer, ils prennent les Africains pour des cons et les galeristes spécialisés du quartier pour des escrocs. Est-ce qu’ils achèteraient un Picasso à un Espagnol en sortant de Beaubourg ? », s’interroge le spécialiste. « Et au final, conclut Bernard Dulon je n’ai pas envie de les plaindre plus que ça s’ils se font rouler, même s’il faut bien reconnaître que la fabrique de faux peut nous porter tort. »
Pour ce galeriste, ces faux se repèrent au premier coup d’œil. Les copies sont « à mourir de rire», dit-il, « elles sont mal faites pour la bonne raison qu’elles sont fabriquées d’après photo et que le faussaire fait comme il peut pour rendre les trois dimensions de l’œuvre originale. De ma vie, je n’ai jamais vu en art africain ce que les spécialistes appellent un "faux diabolique", c’est-à-dire une copie quasi-indétectable ».
« Et puis, quand même, ces riches amateurs qui au passage n’ont pas l’œil bien éduqué, s’ils pensent qu’ils peuvent acheter dans un coffre de voiture, à la sauvette, une pièce qui vaut 1 million d’euros bradée à 100 000, franchement ça pose question », juge Bernard Dulon. Mais l’âme humaine est ainsi faite qu’entre escroc et escroqué, il existe souvent une connivence, l’un pensant toujours être plus malin que l’autre.
Les ventes publiques d’art premier africain ne sont pas très fréquentes et elles sont de plus en plus suivies par des inconditionnels. Le continent africain est ainsi reconnu depuis quelques décennies comme un producteur d’art de première importance. Avec, comme conséquence logique, une envolée des prix et son corollaire, la multiplication des copies. Le réseau qui vient d’être démantelé à Paris après six mois d’enquête et de filatures apparaît comme étant le plus important jamais découvert à ce jour en France. "
Bertrand
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Re : gbekre
Ce que l on oublie de dire, c que tous les galeristes en croquent de ces pièces... Ce ne sont pas les runners qui les vendent à 100000
Encore une fois l info est partielle, manipulée et orientée ,
Les méchants vendeurs noirs, les bons galeries tes blancs comme neige, le tout avec la complicité de l état, une police aux ordres, et une presse à qui l on a remis une belle histoire bien formatée
La France devient de plus en plus une république bananière
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Encore une fois l info est partielle, manipulée et orientée ,
Les méchants vendeurs noirs, les bons galeries tes blancs comme neige, le tout avec la complicité de l état, une police aux ordres, et une presse à qui l on a remis une belle histoire bien formatée
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Re : gbekre
bertrand
peux tu deplacer ton message sur "mieux que l'acide" ..
peux tu deplacer ton message sur "mieux que l'acide" ..
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Re : Re : gbekre
[quote author=B. Priez link=topic=4509.msg23011#msg23011 date=1371160216]
"Fausses statuettes africaines et vrais faussaires arrêtés à Paris
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La Mecque du marché français de l’art premier africain en frémit encore. A Paris, ce sont 22 personnes qui ont été interpellées en début de semaine lors d’une opération qui a mobilisé 50 policiers. Les personnes arrêtées écoulaient dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés des statuettes et masques africains vieillis artificiellement à coup d’urine et de noix de cajou…
Le trafic était bien connu des amateurs d’art africain qui aiment se régaler les yeux du côté du sixième arrondissement de Paris. Rien de bien méchant en apparence : un grand jeune homme noir vous aborde en vous demandant si vous aimez l’art africain. La plupart du temps, il vous propose quelques babioles tirées d’un sac en plastique qui n’ont d’art africain que le nom.
Urine et brou de noix
Mais cette fois, l’affaire est d’une autre envergure. Le coup de filet opéré lundi à la mi-journée par cinquante policiers a abouti à vingt-deux interpellations. Quatre personnes étaient toujours en garde à vue, ce jeudi 13 juin. Les policiers ont mis à jour un réseau de rabatteurs qui écoulaient des objets d’art africains « anciens » fabriqués à la petite semaine en plein Paris.
Pour leur donner une patine « authentique », les faussaires enfouissaient les objets dans la terre puis urinaient dessus, l’acidité faisant alors merveille pour vieillir les pièces en bois. Le brou de noix de cajou, vieux truc de brocanteur, fonctionne aussi très bien pour ajouter quelques décennies à une statuette tout juste sortie d’atelier.
Ce sont ainsi quelque 500 objets qui ont été saisis, révèle le quotidien Le Parisien. Un galeriste réputé serait suspecté d’être impliqué dans le trafic qui permettait d’écouler notamment des faux masques Fang du Gabon et des statuettes Punu tout aussi trafiquées. Tout cela se limiterait à un petit commerce pas bien catholique, si ce n’était les sommes en jeu : selon les enquêteurs les faux se négociaient autour de 100 000 euros ! On murmure dans le quartier très sélect de Saint-Germain-des-Prés, que des amateurs fortunés se sont fait arnaquer, qui de 100 000, qui de 400 000 euros.
Des sommes qui laissent sans voix Bernard Dulon, expert en art premier africain et galeriste à Saint-Germain-des-Prés. « Ce qui me dérange dans cette affaire, explique-t-il, c’est le fond de racisme qu’elle révèle. Ce sont des Africains qui vendent ces objets dans la rue et ce sont des Blancs qui achètent, persuadés que le vendeur africain n’y connaît rien et qu’eux vont faire une bonne affaire. »
Acheter un Picasso à un Espagnol en sortant du musée
« Pour résumer, ils prennent les Africains pour des cons et les galeristes spécialisés du quartier pour des escrocs. Est-ce qu’ils achèteraient un Picasso à un Espagnol en sortant de Beaubourg ? », s’interroge le spécialiste. « Et au final, conclut Bernard Dulon je n’ai pas envie de les plaindre plus que ça s’ils se font rouler, même s’il faut bien reconnaître que la fabrique de faux peut nous porter tort. »
Pour ce galeriste, ces faux se repèrent au premier coup d’œil. Les copies sont « à mourir de rire», dit-il, « elles sont mal faites pour la bonne raison qu’elles sont fabriquées d’après photo et que le faussaire fait comme il peut pour rendre les trois dimensions de l’œuvre originale. De ma vie, je n’ai jamais vu en art africain ce que les spécialistes appellent un "faux diabolique", c’est-à-dire une copie quasi-indétectable ».
« Et puis, quand même, ces riches amateurs qui au passage n’ont pas l’œil bien éduqué, s’ils pensent qu’ils peuvent acheter dans un coffre de voiture, à la sauvette, une pièce qui vaut 1 million d’euros bradée à 100 000, franchement ça pose question », juge Bernard Dulon. Mais l’âme humaine est ainsi faite qu’entre escroc et escroqué, il existe souvent une connivence, l’un pensant toujours être plus malin que l’autre.
Les ventes publiques d’art premier africain ne sont pas très fréquentes et elles sont de plus en plus suivies par des inconditionnels. Le continent africain est ainsi reconnu depuis quelques décennies comme un producteur d’art de première importance. Avec, comme conséquence logique, une envolée des prix et son corollaire, la multiplication des copies. Le réseau qui vient d’être démantelé à Paris après six mois d’enquête et de filatures apparaît comme étant le plus important jamais découvert à ce jour en France. "
Bertrand
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"Fausses statuettes africaines et vrais faussaires arrêtés à Paris
Masque Fang du Gabon (authentique) utilisé pour la cérémonie du ngil.
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Par Claire Arsenault
La Mecque du marché français de l’art premier africain en frémit encore. A Paris, ce sont 22 personnes qui ont été interpellées en début de semaine lors d’une opération qui a mobilisé 50 policiers. Les personnes arrêtées écoulaient dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés des statuettes et masques africains vieillis artificiellement à coup d’urine et de noix de cajou…
Le trafic était bien connu des amateurs d’art africain qui aiment se régaler les yeux du côté du sixième arrondissement de Paris. Rien de bien méchant en apparence : un grand jeune homme noir vous aborde en vous demandant si vous aimez l’art africain. La plupart du temps, il vous propose quelques babioles tirées d’un sac en plastique qui n’ont d’art africain que le nom.
Urine et brou de noix
Mais cette fois, l’affaire est d’une autre envergure. Le coup de filet opéré lundi à la mi-journée par cinquante policiers a abouti à vingt-deux interpellations. Quatre personnes étaient toujours en garde à vue, ce jeudi 13 juin. Les policiers ont mis à jour un réseau de rabatteurs qui écoulaient des objets d’art africains « anciens » fabriqués à la petite semaine en plein Paris.
Pour leur donner une patine « authentique », les faussaires enfouissaient les objets dans la terre puis urinaient dessus, l’acidité faisant alors merveille pour vieillir les pièces en bois. Le brou de noix de cajou, vieux truc de brocanteur, fonctionne aussi très bien pour ajouter quelques décennies à une statuette tout juste sortie d’atelier.
Ce sont ainsi quelque 500 objets qui ont été saisis, révèle le quotidien Le Parisien. Un galeriste réputé serait suspecté d’être impliqué dans le trafic qui permettait d’écouler notamment des faux masques Fang du Gabon et des statuettes Punu tout aussi trafiquées. Tout cela se limiterait à un petit commerce pas bien catholique, si ce n’était les sommes en jeu : selon les enquêteurs les faux se négociaient autour de 100 000 euros ! On murmure dans le quartier très sélect de Saint-Germain-des-Prés, que des amateurs fortunés se sont fait arnaquer, qui de 100 000, qui de 400 000 euros.
Des sommes qui laissent sans voix Bernard Dulon, expert en art premier africain et galeriste à Saint-Germain-des-Prés. « Ce qui me dérange dans cette affaire, explique-t-il, c’est le fond de racisme qu’elle révèle. Ce sont des Africains qui vendent ces objets dans la rue et ce sont des Blancs qui achètent, persuadés que le vendeur africain n’y connaît rien et qu’eux vont faire une bonne affaire. »
Acheter un Picasso à un Espagnol en sortant du musée
« Pour résumer, ils prennent les Africains pour des cons et les galeristes spécialisés du quartier pour des escrocs. Est-ce qu’ils achèteraient un Picasso à un Espagnol en sortant de Beaubourg ? », s’interroge le spécialiste. « Et au final, conclut Bernard Dulon je n’ai pas envie de les plaindre plus que ça s’ils se font rouler, même s’il faut bien reconnaître que la fabrique de faux peut nous porter tort. »
Pour ce galeriste, ces faux se repèrent au premier coup d’œil. Les copies sont « à mourir de rire», dit-il, « elles sont mal faites pour la bonne raison qu’elles sont fabriquées d’après photo et que le faussaire fait comme il peut pour rendre les trois dimensions de l’œuvre originale. De ma vie, je n’ai jamais vu en art africain ce que les spécialistes appellent un "faux diabolique", c’est-à-dire une copie quasi-indétectable ».
« Et puis, quand même, ces riches amateurs qui au passage n’ont pas l’œil bien éduqué, s’ils pensent qu’ils peuvent acheter dans un coffre de voiture, à la sauvette, une pièce qui vaut 1 million d’euros bradée à 100 000, franchement ça pose question », juge Bernard Dulon. Mais l’âme humaine est ainsi faite qu’entre escroc et escroqué, il existe souvent une connivence, l’un pensant toujours être plus malin que l’autre.
Les ventes publiques d’art premier africain ne sont pas très fréquentes et elles sont de plus en plus suivies par des inconditionnels. Le continent africain est ainsi reconnu depuis quelques décennies comme un producteur d’art de première importance. Avec, comme conséquence logique, une envolée des prix et son corollaire, la multiplication des copies. Le réseau qui vient d’être démantelé à Paris après six mois d’enquête et de filatures apparaît comme étant le plus important jamais découvert à ce jour en France. "
Bertrand
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Re : gbekre
Sorry Sophie .......... j'ai Buzze
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Re : gbekre
et celui là qui danse la gigue !!!
,qu'en pensez -vous?
,qu'en pensez -vous?
- Fichiers joints
-
[L’extension pdf a été désactivée et ne peut plus être affichée.]
- CroMa
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Re : gbekre
Il danse la gigue pour attirer du monde ou il a une envie très pressée qu'il ne peut pas satisfaire car, quand on est en bois, il est difficile de se déplacer ? Et en plus ces offrandes qui ne viennent pas...
En tout cas, il est super !
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- Loïc
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Re : gbekre
Celui-la il n'est pas africain mais breton , on voit les même dans tous les fest noz surtout en juillet aout quand les parisiens sont là
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Re : gbekre
en fait ,je ne l'ai pas vu a st Brieuc !!!
mais je ne sais plus où ? si qq a une idée..
mais je ne sais plus où ? si qq a une idée..
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Re : gbekre
Moi j'aime bien ...
Il ne danse pas la gigue, il se retient de ne pas faire sur lui
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- veronique
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Re : gbekre
Pas de doute, je préfère le singe de Lulu !
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Re : gbekre
O Grand Lobi .................... La France "ne devient pas" une Republique Bananiere .......... La France EST une Republique Bananiere depuis Mitterrand et les 40 voleurs
En plus ... c'est pas sympa ce que tu dis ..... Mami achete plein de bananes pour son Gbekre ... elle envisage meme d'aller en Codivoire acheter des bananes de N'douci pour son rejeton
Et l' Hyppo a decide que c'etait fini cette histoire de Republique .... ca fait trop Sarko .. alors on va devenir un autre Burkina ... mais cette fois ca ne s'appelera pas le "Pays des hommes integres" .. ca s'appelera le "Pays des Voyous et autres Vermines" ......et l'hyppo pourra aller avec Sarko One trafiquer un peu dans le sahel avec ses potes
Moi non plus je prefere le singe de Lulu
Bertrand
En plus ... c'est pas sympa ce que tu dis ..... Mami achete plein de bananes pour son Gbekre ... elle envisage meme d'aller en Codivoire acheter des bananes de N'douci pour son rejeton
Et l' Hyppo a decide que c'etait fini cette histoire de Republique .... ca fait trop Sarko .. alors on va devenir un autre Burkina ... mais cette fois ca ne s'appelera pas le "Pays des hommes integres" .. ca s'appelera le "Pays des Voyous et autres Vermines" ......et l'hyppo pourra aller avec Sarko One trafiquer un peu dans le sahel avec ses potes
Moi non plus je prefere le singe de Lulu
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Re : gbekre
http://share.es/xWXGC
Essai?
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Re : gbekre
j'ai trouvé le papa de Gaston au MET !!
http://metmuseum.org/Collections/search-the-collections/50007487?rpp=20&pg=3&ao=on&ft=Baule&pos=52
et là encore samir borro est dans le coup
http://metmuseum.org/Collections/search-the-collections/50007487?rpp=20&pg=3&ao=on&ft=Baule&pos=52
et là encore samir borro est dans le coup
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Re : gbekre
celui la est au :
Metropolitan Museum of Art
1000 Fifth Avenue
New York, New York 10028-0198
Phone: 212-535-7710
c'est pas rien
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Re : gbekre
Merci tamba,je connais bien le Met..que j'ai visite l'année dernière avec la curatrice.
Je connais également Brian leyden à qui je vais transmettre la photo de Gaston...
Et je n'en veux pas a samir..
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Je connais également Brian leyden à qui je vais transmettre la photo de Gaston...
Et je n'en veux pas a samir..
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