deux nouveaux
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deux nouveaux
voici les deux nouveaux, un couteau Yankere, j'aime beaucoup le travail de forge,
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Re : deux nouveaux
Belle découverte!, le téké à un beau décors de lame.
Le yangére et un beau couteau, j'ai toujours un coup de cœur pour ce genre de couteau de jet.
J'en ai un sur mon site avec les cabochon en cuivre.
Bravo. @ll@n
http://www.memoire-africaine.com/archives.html
Le yangére et un beau couteau, j'ai toujours un coup de cœur pour ce genre de couteau de jet.
J'en ai un sur mon site avec les cabochon en cuivre.
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Re : deux nouveaux
merci Allan, moi aussi, j'aime ces formes simples et élégantes
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Re : deux nouveaux
2 beaux couteaux anciens, en bon état et pas facile à trouver. Félicitations.
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Re : deux nouveaux
Mon dernier couteau de jet.
Ngombe
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Re : deux nouveaux
ce matin, je regardais la façon dont le couteau yankere avait été forgé ( déformation professionnelle) et c'est vraiment du haut niveau, car simplement du sortir les arêtes simplement au marteau, c'est particulièrement difficile...
Il beau ton couteau Luc...
Il beau ton couteau Luc...
- Serge
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Re : deux nouveaux
Bonjour,
une question au forgeron, d'autres peuvent bien sûr y répondre.
On parle parfois de soudure à froid pour des pièces africaines: haches Songye...
En quoi cela consiste?
Cordialement
Serge;
une question au forgeron, d'autres peuvent bien sûr y répondre.
On parle parfois de soudure à froid pour des pièces africaines: haches Songye...
En quoi cela consiste?
Cordialement
Serge;
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Re : deux nouveaux
bonne question que je me suis toujours posée...
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Re : deux nouveaux
Le soudage en phase solide
Généralités
Le soudage en phase solide est la classe de procédés dans lesquels deux surfaces sont jointes
sans ni fondre le métal de base ni ajouter un métal d'apport fondu.
Les procédés de soudage en phase solide ont été développés avant ceux passant par une phase
liquide à cause des exigences d'apport d'énergie moins sévères pour les premiers. [u]Un exemple
bien connu est le soudage par forgeage qui était utilisé dans la fabrication d'armes déjà dans les
temps très reculés.[/u]ans les procédés de soudage en phase solide les joints sont établis par au moins un des trois
mécanismes suivants:
1. Un mouvement relatif des deux pièces à joindre donne lieu au cisaillement des points de
contact, produisant des régions non-contaminées qui sous pression forment des joints
métalliques entre les pièces. Ce mécanisme intervient dans les procédés de soudage par
friction et soudage par ultrason.
2. Une déformation coordonnée des deux pièces à joindre produit des régions non-contaminées
qui sous pression forment des joints métalliques entre les pièces. Cela est le cas pour le
soudage par explosion et le soudage par pression à chaud et à froid.
3. La diffusion préférentielle suscitée par une force qui met l'interface sous pression permet de
réduire le volume de pores entre les surfaces à joindre. Ceci est utilisé dans le soudage par
diffusion.
Les procédés de soudage en phase solidesauf le soudage par diffusionnécessitent donc
toujours une déformation très importante, ce qui limite ces procédés aux métaux ductiles et aux
géométries simples.
Pour des matériaux mous, la déformation se réalise déjà à température basse tandis que pour des
matériaux à limite élastique plus élevée une augmentation de température qui abaisse la limite
d'écoulement est nécessaire. Une température élevée facilite aussi certains mécanismes favorables
au soudage complet, p. ex. la diffusion des atomes et la recristallisation. La dernière sert surtout
à augmenter la ductilité du joint.
En revanche, puisque aucune phase liquide n'est présente et la température reste souvent
largement en dessous du point de fusion les pièces à souder peuvent garder au moins
partiellement leurs microstructures et leurs propriétés mécaniques ne sont donc pas ou que peu
détériorées.
En plus, ces procédés se prêtent pour joindre des matériaux dissemblables, notamment avec des
larges différences de point de fusion. Ce dernier point est un avantage considérable par rapport
aux procédés passant par une phase liquide. En outre, des microstructures de solidification sont évitées.
Détails techniques:
http://igor.paoletti.free.fr/dossiers/Assemblage_2_Soudage_en_phase_solide.pdf
Généralités
Le soudage en phase solide est la classe de procédés dans lesquels deux surfaces sont jointes
sans ni fondre le métal de base ni ajouter un métal d'apport fondu.
Les procédés de soudage en phase solide ont été développés avant ceux passant par une phase
liquide à cause des exigences d'apport d'énergie moins sévères pour les premiers. [u]Un exemple
bien connu est le soudage par forgeage qui était utilisé dans la fabrication d'armes déjà dans les
temps très reculés.[/u]ans les procédés de soudage en phase solide les joints sont établis par au moins un des trois
mécanismes suivants:
1. Un mouvement relatif des deux pièces à joindre donne lieu au cisaillement des points de
contact, produisant des régions non-contaminées qui sous pression forment des joints
métalliques entre les pièces. Ce mécanisme intervient dans les procédés de soudage par
friction et soudage par ultrason.
2. Une déformation coordonnée des deux pièces à joindre produit des régions non-contaminées
qui sous pression forment des joints métalliques entre les pièces. Cela est le cas pour le
soudage par explosion et le soudage par pression à chaud et à froid.
3. La diffusion préférentielle suscitée par une force qui met l'interface sous pression permet de
réduire le volume de pores entre les surfaces à joindre. Ceci est utilisé dans le soudage par
diffusion.
Les procédés de soudage en phase solidesauf le soudage par diffusionnécessitent donc
toujours une déformation très importante, ce qui limite ces procédés aux métaux ductiles et aux
géométries simples.
Pour des matériaux mous, la déformation se réalise déjà à température basse tandis que pour des
matériaux à limite élastique plus élevée une augmentation de température qui abaisse la limite
d'écoulement est nécessaire. Une température élevée facilite aussi certains mécanismes favorables
au soudage complet, p. ex. la diffusion des atomes et la recristallisation. La dernière sert surtout
à augmenter la ductilité du joint.
En revanche, puisque aucune phase liquide n'est présente et la température reste souvent
largement en dessous du point de fusion les pièces à souder peuvent garder au moins
partiellement leurs microstructures et leurs propriétés mécaniques ne sont donc pas ou que peu
détériorées.
En plus, ces procédés se prêtent pour joindre des matériaux dissemblables, notamment avec des
larges différences de point de fusion. Ce dernier point est un avantage considérable par rapport
aux procédés passant par une phase liquide. En outre, des microstructures de solidification sont évitées.
Détails techniques:
http://igor.paoletti.free.fr/dossiers/Assemblage_2_Soudage_en_phase_solide.pdf
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Re : deux nouveaux
dans la pratique si on tape très fort sur 2 morceaux de fer, ils ne se souderont jamais. En coutellerie, nous soudons différents type d'acier ou de fer en montant la t° en dessous du point de fusion ( environ 1500°C), la soudure se fait au alentour de 1350 °C. Pour que la soudure se fasse, il ne faut pas d'oxygène. Aujourd'hui, nous utilisons du Borax, ou sel de bore, mais les anciens utilisaient du sable, ou de la cendre de fougère riche en silice ( entre autre). Sans désoxydant le métal sera collé, mais pas soudé. le fer est plus facile a souder que l'acier (fer+carbone+...)
J'ai regardé les haches songye que j'ai et même si les soudures ne sont pas partielles, certains morceaux, sont bien soudé.
Par rapport au texte si dessus, reste a définir haute et basse t°. Un feu de bois monte facilement à 1500 °C et la forge du fer ou de l'acier commence vers 800 à 1000°C
J'ai regardé les haches songye que j'ai et même si les soudures ne sont pas partielles, certains morceaux, sont bien soudé.
Par rapport au texte si dessus, reste a définir haute et basse t°. Un feu de bois monte facilement à 1500 °C et la forge du fer ou de l'acier commence vers 800 à 1000°C
- Serge
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Re : deux nouveaux
Merci pour ces éclaircissements.
Serge
Serge